Plus que cruel, un reportage très cru, un documentaire presque fantastique qui mélange l'horreur et la poésie, le dégoût et la passion. Godard disait que Méliès c'était l'ordinaire dans l'extraordinaire et que Lumière, l'extraordinaire dans l'ordinaire. On serait tenté de dire que Georges Franju est celui qui sait le mieux mélanger les deux...
“As Benjamin intimates, the recovery of the interpenetration of the past and the present (in allegory and dialectical optics) depends on the catalyzing force of horror (Surrealism at its most profane), and on a shocking recognition of history’s horrors within the fabric of the everyday”.开篇万花筒般的巴黎郊区景观(自然与作为第二自然的文化制品的并置),幽闭空间里令人作呕和战栗的对屠宰场面绝对直观,结尾梦一般的街景蒙太奇,弗朗叙要说的不仅仅是屠宰场本身。
sirius_flower
2015-12-09 23:49:06