Avant Parasite, Fukada nous conte déjà son fable moderne sur l'immixtion d'1 intrus au sein d'une paisible famille à problèmes invisibles. Il laisse pourtant derrière lui la lutte sociales des classes pour s'intéresser plutôt à un comportement commun des Japonais protectionnistes en agrandissant volontairement leur crainte vis-à-vis des éléments extérieurs "perturbateurs", en occurrence les étrangers. Hélas, Fukada laisse en cours de chemin de multiples pistes exploitables pour finir sur une conclusion en demi -teinte
kelet
2011-06-17 22:31:32